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Si c'est un homme - Primo Levi

23 février 2012

/!\ Conclusion

     

Alors à vrai dire, j'ai tout de même aprecié ce livre. Même si parfois c'est long, même si c'est le livre le plus difficile que j'ai lu, j'ai aimé . J'aurais voulu plus de sentiments, plus d'actions. Mais cela est peut être lié à mon age, mes gouts. Mais ce livre est bien écrit, l'auteur intelligent et, même si le sujet est dur à exprimé pour lui et que ces nombreux souvenirs ont du revenirs en surface lors de l'écriture, il n'a pas "dérapé" et est resté dans la même ecriture, qui plait. 

C'est donc les raisons de mon point de vue, même si je ne compte pas le relire de sitôt....

L.

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23 février 2012

17) Le dernier

Ce chapitre. Le seul et dernier chapitre de l'ouvrage qui peut avoir ce nom.

Ce chapitre doit être le plus long. Le plus affreux aussi. Il finit le livre et aussi mon envie de le relire. Vraiment dégoutant. C'est en le lisant aussi que j'ai appris le plus de nom de toute ma vie, pour l'instant. Je n'aurais même pas imaginer qu'il en existe autant !Tout cela parce que le livre se finit dans l'infirmerie, entouré de centaines de décombres et de morts. L'auteur est cette fois en compagnie de deux hommes, des français. en vrai, ils sont onze mais comme les autres sont malades, je n'en compte que trois. Il y a Arthur, le plus agé. C'est un paysan petit et maigre. L'autre, c'est Charles, son compagnon de couchettes, un instituteur. Puis il y a Primo, l'auteur, bien sur. 


Donc, ces trois courageux ont dans l'idée de rester en vie. Dans ce chapitre, ils ont vu que ce n'était pas si simple. Ils ont risqués leurs vies plusieurs fois mais, ont eu de la chance. Ce al fait que, aprés ces 10 jours interminables, ils seront repris par les russes le 27 janvier, ce qui a du rester longtemps dans la mémoire de l'auteur.....

Ce chapitre est peut être le pire. En tous cas, je sais que c'est le meilleur. Il est long, je l'avoue et quand l'on veut le lire, sa taille nous démoralise. Mais il est quand même bien ecrit et les actions sont là, même si certaines sont affreusement tristes et parfois vraiment dégoutantes. Je n'ai quand même pas ressentis de grands sentiments joyeux ou positifs mais plutôt du dégout.....et pas mal de soulagement pour lui à la fin du livre.

L.

23 février 2012

16) Indignation !

Franchement, mais franchement.......

 

En voyant le titre de ce chapitre, je me suis dite (et sûrement pas que moi) :

 

« -Chouette, j’arrive enfin à la fin de ce livre ! »

 

(Rappel : Je suis OBLIGEE de le lire.) Mais, en s’approchant de la fin, je comprends enfin qu’il m’en reste encore un, de chapitre ! Et, en plus de cette découverte, je me demande toujours la raison du titre de ce chapitre……..

 

Franchement, ça me vexe tellement que j’arrête de lire pour le moment .Et je ne compte pas reprendre pour le moment ! 

L

.

23 février 2012

13) La Selection

Après un été mouvementé, voici un hiver qui commence parfaitement : Une sélection (avec élimination, bien sur ....) ! C’est donc d’abord avec suspens pour les lecteurs et suspense aussi pour les prisonniers que commence ce chapitre. Puis en quelques phrases, l’auteur fait disparaitre toutes les imaginations que l’on a pu se faire en lisant ce qui a avant.

Résultats : je suis Déçue.

 


L.

23 février 2012

12)" Les personnages de ce récit ne sont pas des hommes"

Ne cherchez pas la raison de ce titre, c'est juste une phrase de ce livre que j'aime bien (p.130)....


Je pense que cet homme, en allant içi, n’aura jamis de chance. Maintenant qu’il sort enfin d’hiver et commence à ne plus avoir froid, le camps se fait bombarder ! Franchement, je trouve ca vraiment injuste et là, à part de la pitié , je n’ai pas ressenti grand-chose. Malgré tout ça, ce chapitre a été tout de même lu très rapidement (par rapport au 11, c’est sur !).

 

 

L.

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22 février 2012

10) Chimie, matière présente bien plus que ce que l'on pense....

La chimie. Avant je la voyait plutôt comme une matière obligatoire, que l’on devait supporter toutes les semaines sans râler et que l’on oublierai dés notre arrivée dans un endroit plus évolué (genre lycée) sauf si l’on veut en tirer quelque chose pour son prochain métier. Sauf que, à part les langues, cette matière arrive tout d’un coup dans ce chapitre, au milieu de ce livre, ce qui m’a sincèrement étonné (peut être pas que moi…) car je ne trouvais (et ne trouve d’ailleurs toujours pas !) pas l’utilité de cette matière là- bas ....

         L.

21 février 2012

9.4) Le surdoué..

Dernière petite histoire de ce grand chapitre....

 

20 février 2012

9.3) L'homme de mon esprit....

Ce titre ? Hum....peut être parceque cela sonnait bien et aussi parceque j'ai lu cette partie juste avant de m'endormir et que cette histoire m'a trotté dans la tête un bon bout de temps.....

Elias. Déjà ce nom est trop simple pour l'endroit où il a atterri: le Kommando de chimie. Mais cet homme, enfin si l'on peut appeler cette chose comme ça, n'est pas un homme normal. Il est petit, incroyablement musclé et c'est peut être son physique ainsi expliqué qui m'a marqué. Mais, l'on aurrait pu croire qu'il était juste different niveau physique et que ce n'était pas vraiment sa faute. Sauf que, en plus de ça, il a une façon de penser et de travailler hors des normes des hommes presents dans les camps. Serieusement, l'auteur en parle à peu prés comme moi sauf que, ma difference est que, je l'imagine (avec certes, des indices pour cet imagination mais je l'imagine tout de même monstrueux !) et lui,  l'a déja vu !!!

18 février 2012

9.2) Histoire d'ingénieur....

La deuxième histoire..... (enfait, celle là, était un peu longue..)

L'ingenieur Alfred L. est un des seul homme de ce livre avec un nom prononçable. C'est aussi un des seul homme de ce livre qui est maniaque comme ça. C'est pas vraiment inpensable pour le lieu où ces hommes sont mais, c'est peut être ça qui m'a fait réfléchir sur ce passage, si l'on reflechi bien, bah ça peut envisagable, si cet homme est vraiment (et peut être plus !) propre. Donc, niveau sentiments, seule la surprise fut au rendez vous.....Et peut être un peu du respect car, il doit en passer du temps , sur sa douche, et avec tellemnt peu de place....


L.


17 février 2012

9.1) Les histoires : Schepschel

J'aime ce chapitre (enfin !). Mais j'ai toujours aprécié les témoignagnes ou les autres paroles de cette sorte. Et comme dans ce chapitre, il y en a 3 plustôt grands, je fais un article pour chacun.


Cet homme au drôle de prenom compliqué n'est pas vraiment une personne qui n'a pas eu de la chance. Enfait, il n'y en as pas beaucoup qui en ont eu, enfin dans tout ceux qui sont dans le Lager (camp). Mais lui, c'est vraiment un cas desespéré: plus de famille, plus d'endroit possible à l'acceuillir si sortie du camp, pas de travail. Heureusement qu'il sait faires quelques choses de ces mains mais.... ce n'est pas vraiment suffisant. La phrase : "...quand l'occasion se présenta il n'hésita pas à faire condamner au fouet son complice..." m'a plutôt fait mal au coeur car, au début de sa mini-histoire, l'auteur le plaint et nous fait monter de la pitié en nous mais, quelques lignes plus tard, il écrit cette phrase et là nos coeurs se brisent et, de peur de ne pas comprendre, on la relis plusieur fois.....(peu de sentiments, je sais, mais c'est déjà ca nan ?..)

   



L.

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